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Des "Anciens" aux César !

  • thème Info cinéma
  • date 27.02.2013

Citons d’abord Vincent Scotet (Troisième année promo 2005/06, dominante image), deuxième assistant opérateur sur “Amour”. Cela fait maintenant plus de six ans que Vincent exerce son métier de second assistant caméra, de “Taken” à Star 80, en passant par “La horde” ou “Micmacs à tire-larigot”. De son propre aveu, “un film de M. Haneke est une étape marquante et une expérience assez unique, à la fois par l’exigence et la difficulté du travail au quotidien mais aussi pour la satisfaction indéniable de faire un film unique, que nul autre que lui n’aurait pu faire de manière aussi personnelle et sans concessions. Je touche du bois pour que ça continue !”.

Citons d’abord Vincent Scotet (Troisième année promo 2005/06, dominante image), deuxième assistant opérateur sur « Amour ». Cela fait maintenant plus de six ans que Vincent exerce son métier de second assistant caméra, de « Taken » à Star 80, en passant par « La horde » ou « Micmacs à tire-larigot ». De son propre aveu, « un film de M. Haneke est une étape marquante et une expérience assez unique, à la fois par lexigence et la difficulté du travail au quotidien mais aussi pour la satisfaction indéniable de faire un film unique, que nul autre que lui naurait pu faire de manière aussi personnelle et sans concessions. Je touche du bois pour que ça continue ! ».

Nous appelons ensuite David Gourmaud (Troisième année promo 2006/07, dominante post-production), monteur VFX sur « Les adieux à la reine » de Benoît Jacquot, nommé 10 fois à cette soirée et déjà sacré cette année par le prestigieux Prix Louis-Delluc.
Enfin, Christophe Chevalier et Jérôme Koch (Troisième année promo 2009/10) sont heureux de nous faire part du César du meilleur court métrage 2013 pour « Le cri du homard » de Nicolas Guiot, sur lequel ils furent respectivement assistant régisseur adjoint et régisseur adjoint durant le mois de juillet 2011.

Une belle statuette qui récompense « un tournage vraiment sympathique avec une équipe franco-belgo-russe soudée (autant pendant que après le tournage), pleine de bonne humeur et de bonne volonté. Et voir Nicolas Guiot gagner un prix aussi prestigieux que le César est un véritable plaisir ».

Bravo à tous !