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Pourquoi intégrer une école d’effets spéciaux ?

Maîtrisez l’art de la « final touch ».

Intégrer une école de postproduction permet de bénéficier des trois ingrédients clés pour y faire carrière : une parfaite maîtrise des technologies, beaucoup de pratique et un encadrement dispensé par des experts du milieu.

Pourquoi faire une école de postproduction ?

La postproduction occupe une place importante dans le monde du cinéma et de l’audiovisuel : c’est là que les images et les sons bruts vont être transformés en un produit final harmonieux et prêt à être diffusé.

Un travail crucial qui nécessite expertise et savoir-faire.

La phase de postproduction débute seulement une fois que le tournage est terminé. Une fois entrée en scène, l’équipe de postproduction doit visionner l’ensemble des plans, les sélectionner, les monter, retoucher les images, travailler les effets spéciaux et procéder au mixage des images avec le son. Une tache méticuleuse qui requiert de la patience sachant que 15 minutes de film nécessitent en moyenne 20 heures de montage.

Intégrer une école de postproduction présente ainsi de nombreux avantages :

  • bénéficier d’une formation dans les techniques de postproduction les plus avancées : vous pourrez ainsi développer les compétences nécessaires pour travailler sur tous les aspects les plus complexes de la postproduction (montage, effets visuels, création sonore…) ;
  • accéder aux équipements et logiciels professionnels utilisés dans l’industrie de la postproduction : à l’instar de CinéCréatis, une école de postproduction permet de travailler avec les derniers outils technologiques en vogue ;
  • réaliser des stages et des projets pratiques : vous pourrez approcher l’ensemble des métiers de l’industrie et développer des compétences concrètes qui vous seront utiles tout au long de votre carrière ;
  • côtoyer des experts du milieu et vous constituer un réseau professionnel solide : bénéficier de bons contacts peut vous aider à trouver plus facilement un emploi après vos études de cinéma ;
  • prétendre à une grande pluralité de métiers : L’industrie de la postproduction propose une grande diversité d’activités, tels que monteur vidéo, coloriste, spécialiste des effets visuels, ingénieur du son ou encore producteur de postproduction.

Quel métier faire après une école de postproduction ?

Vous vous demandez comment devenir ingénieur son, directeur de postproduction ou superviseur SFX ?

Intégrer une école de postproduction permet de vous former à l’ensemble des métiers de la postproduction.

Étape cruciale dans la création d’un contenu audiovisuel quel qu’il soit, la postproduction englobe un large éventail de processus et compétences : le montage, l’étalonnage des couleurs, la création et l’ajout d’effets visuels et sonores, l’enregistrement et le mixage audio, la composition de la musique, la création de titres et de génériques…

Tous ces processus sont réalisés par des professionnels spécialisés dans différents secteurs de la postproduction. Ces derniers travaillent néanmoins en étroite collaboration pour s’assurer que le produit final soit cohérent avec la vision créative et les exigences du projet.

En suivant une formation spécialisée, les étudiants peuvent participer à des projets de films, de séries télévisées, de publicités, de jeux vidéo, de podcasts, de clips musicaux. En effet, l’objectif d’une école de postproduction est de préparer les étudiants à l’ensemble des métiers de l’industrie, comme :

  • chef monteur son (cinéma) : c’est lui qui décide de la durée des plans et des séquences pour un film et qui assure les raccords afin de permettre la fluidité de l’œuvre. Il passe la majorité de son temps devant ses rushs pour donner vie à l’œuvre cinématographique ;
  • coloriste : responsable de l’étalonnage des couleurs, il travaille en étroite collaboration avec les réalisateurs et directeurs de la photographie pour créer des ambiances visuelles et donner un style unique à chaque projet ;
  • coordinateur de postproduction cinéma : Véritable chef d’orchestre, il fait le liant entre le réalisateur, la production et l’équipe technique de postproduction ;
  • digital compositor : c’est lui qui finalise tous les effets visuels par assemblage des différents éléments (fond vert, éléments 3D, photos hautes résolutions, etc.) afin d’aboutir à un plan définitif cohérent et homogène. À la fois artiste et technicien, il est chargé d’optimiser la qualité artistique ;
  • directeur de la postproduction : il est responsable de la coordination et de la supervision de tous les aspects de la postproduction d’un projet, notamment le montage, l’étalonnage des couleurs, les effets visuels et le son. Il collabore avec les réalisateurs, directeurs de la photographie et éditeurs pour s’assurer que le projet est réalisé dans les délais et le budget impartis ;
  • monteur image : intervenant après le tournage, il porte un regard nouveau sur l’écriture du film, en vue de donner du sens et de l’esthétique à la production audiovisuelle ;
  • monteur son : son travail consiste à créer, éditer et mixer les différents éléments sonores tels que les dialogues, la musique, les effets sonores, les bruitages, etc. afin de produire une bande sonore de haute qualité ;
  • ingénieur du son : c’est lui qui travaille sur l’enregistrement et le mixage du son, l’ajout d’effets sonores ou encore la synchronisation audio et vidéo ;
  • superviseur SFX (Special Effects) : il supervise la création et la mise en œuvre des effets spéciaux en utilisant des techniques telles que l’animation par ordinateur, la modélisation 3D et le compositing pour créer des images et des effets spectaculaires.