"Avec CinéCréatis, vous faites le bon choix"

En arrivant à CinéCréatis en 2018, Quentin avait un objectif clair : explorer le monde de l’audiovisuel. Mission accomplie ! « Mes études à CinéCréatis m’ont permis de découvrir tous les aspects du cinéma et surtout comment les différents métiers interagissent les uns avec les autres », explique-t-il. Pour lui, il est essentiel de comprendre chaque métier pour être efficace sur un plateau de tournage.

Son stage de fin d’études marque le début de sa carrière. En tant que stagiaire chez TSF, spécialisé dans la location de matériel cinématographique, Quentin est pris sous l’aile de Gaston Grandin, chef machiniste, qui le forme sur plusieurs longs métrages. Son premier vrai tournage est « L’Abbé Pierre – Une vie de combats » – le film aux 770 000 entrées – sur lequel il travaille comme auxiliaire machiniste de prises de vues. « J’ai beaucoup appris, surtout avec une grosse équipe comme celle-ci », se souvient Quentin.

De CinéCréatis à Jacques Audiard

Après cette expérience initiale, Quentin multiplie les projets. Il participe à « Ama Gloria » de Marie Amachoukeli, ainsi qu’à « LT-21 » de Mélisa Godet. Sa première expérience en tant que machiniste de prises de vues est sur le clip « Les Scintillements » de Théo Fauger en avril 2022. « C’est un poste où je m’occupe des installations pour les mouvements de caméra, la sécurité du matériel et des équipes, ainsi que des fonds verts et bleus pour les effets spéciaux », précise-t-il.

Il continue à travailler sur divers projets, clips aux longs métrages en passant par les publicités et les courts métrages. Il contribue à « Vivants » d’Alix Delaporte, à la série « Furies » de Cédric Nicolas-Troyan et au film « La Bête » de Bertrand Bonello. En avril 2023, il rejoint l’équipe de « Émilia Pérez » dirigé par Jacques Audiard. « Ce métier est loin d’être monotone, chaque jour apporte son lot de découvertes et de rencontres enrichissantes », souligne-t-il.

Quentin encourage vivement les étudiants à se lancer sans hésitation, à effectuer des stages, à être curieux et à rencontrer des professionnels. « Le cinéma est un monde où les contacts sont essentiels, et chez CinéCréatis, vous commencez à tisser ce réseau dès le départ », insiste-t-il. Un conseil avisé de la part de celui qui aspire à devenir chef machiniste dans quelques années. Toute l’équipe CinéCréatis lui souhaite le meilleur !